La Relation d’Aide par le Toucher

Le but de la Relation D’aide par le Toucher® est d’aider la patient à la résolution de ses troubles psychosomatiques et des difficultés de vie qui leur sont associés.

Cette thérapie vous propose de « faire parler » le corps et de prendre en compte votre ressenti corporel pour mieux réagir dans votre vie.

Pour apporter un mieux être dans votre vie et dans votre corps, la Relation d’Aide par le Toucher® se déroule en différentes étapes :

– Par une série de séance dans une relation praticien/patient. Le thérapeute vous propose une approche personnalisée, il ne se contente pas d’appliquer une technique, il vous soutient et vous accompagne dans un processus. Et le patient ne reçoit pas passivement un massage, il est partie prenante du processus et s’y investit.
– Une association de techniques de toucher ( massage californien, réflexologie plantaire, shiatsu, relaxation coréenne) et des « outils » d’aide aux changements de vie (= un temps d’intégration verbale en lien avec le ressenti de l’état après le massage).
– Un support par une aide individualisée à partir de vos symptômes physiques et/ou de votre situation de vie. Le thérapeute en Relation d’Aide par le Toucher® n’apporte pas de réponses à des questions, il n’a pas de solutions à donner, il est là pour vous accompagner et vous soutenir dans la prise de conscience, la traversée de ce que vous ressentez .

Les trois grandes fonctions du toucher :
Révélateur : sensibilisation du corps, prise de conscience de la respiration et des tensions, mobilisation du ressenti, émergence de mémoires corporelles.
Réparateur: détente neuro-musculaire, amélioration organique, soulagement de la douleur, sensations positives, reconnaissance de soi, soutien relationnel.
Libérateur : libération respiratoire, mobilisation émotionnelle, émergence d’images et de souvenirs, dégagement et équilibrage énergétique.
Le déroulement de séances :
Le processus d’aide se déroule sur un suivi de 10 à 20 séances (selon le rythme et la demande du patient) à raison d’une fois par semaine.
Dès la première séance un cadre et un « contrat »thérapeutique sont posés.
Vous vous engagez mutuellement avec le thérapeute pour une série de séances à double objectif :
– un mieux être dans votre corps: amélioration (résolution quand c’est possible) des symptômes psychosomatiques.
– Un mieux -être dans votre vie: nouvelle perception de la situation et nouveaux positionnements dans la vie.

Le thérapeute vous invite à parler de vos symptômes corporels et difficultés de vie que vous rencontrez. Ceci bien sûr est un espace de parole couvert par le secret professionnel.
Cet entretien de départ est plus ou moins approfondi suivant votre disponibilité à parler de vous. Les premières séances ont pour but de vous aider à vous détendre, à appréhender votre ressenti corporel et
à vous sentir mieux globalement.

Le thérapeute sera attentif à vous aider à relâcher et à libérer votre respiration sans laquelle il ne peut y avoir une détente profonde.
Nous vivons la plupart du temps dans « notre tête »,ce qui nous empêche d »entrer en contact avec notre ressenti !! Ce que nous pouvons changer, c’est notre manière de les ressentir et de les vivre.
Le suivi de séances, vous donne la possibilité avec la détente qu’elle apporte, de reprendre contact avec votre corps, de relâcher la pression intérieure et de prendre du recul par rapport à vos difficultés.

Le cœur du travail se situe dans le travail des « tensions spécifiques », l’exploration de ces zones « sensibles » des vécus et des mémoires corporelles qu’elle va révéler se fait à deux, dans une collaboration entre patient et thérapeute.
Ce travail laisse alors place aux émotions qui étaient retenues et figées dans le corps. C’est ce qui n’a pas pu être exprimé et vécu à un moment donné, qui est à la source de l’émotion.
C’est uniquement en rééquilibrant l’ensemble des tensions et déséquilibres que la Relation d’Aide par le Toucher peut avoir des résultats durables.

Vinciane vous reçoit pour des séances en prenant rendez-vous directement au 0475/48.18.85 ou via le numéro des Locaux 0477 / 42.54.97

Mais qu’est ce que c’est? « La psychomotricité »

Article rédigé par Gaëlle Wuilquot

Bonjour à tous et toutes, voici un petit article pour expliquer avec mes mots, des mots simples pour partager avec vous un moment à propos de la psychomotricité.

Il faut dire que les définitions de la psychomotricité ne sont pas simples. Il faut souvent les relire plusieurs fois afin qu’elles atteignent enfin le cerveau et qu’elles nous parlent un peu… Et puis à l’heure actuelle, on met beaucoup de choses dans le mot psychomotricité et on lui donne beaucoup de vertus.

Dans le dictionnaire, la psychomotricité, c’est « L’ensemble des fonctions motrices considérées sous l’angle de leurs relations avec le psychisme. » Et sur Wikipédia, « La psychomotricité regroupe des fonctions motrices qui sont en lien direct ou indirect avec la pensée, la psychologie et les fonctions cérébrales. C’est une discipline qui met en avant la liaison du corps et de la psyché, contrairement à la dichotomie souvent mise en avant. …] elle cherche à mettre en adéquation le corps et la pensée. »

De mon côté, pour simplifier un peu les choses, après mes formations en kinésithérapie et en psychomotricité j’ai pris le pli de travailler soit en psychomotricité fonctionnelle ou en psychomotricité relationnelle. Tout en sachant que l’une et l’autre se rencontrent chaque fois un peu.

Au niveau de la psychomotricité fonctionnelle, il s’agit de travailler avec les enfants les troubles fonctionnels de la motricité qu’ils présentent et qui sont avérés par un test psychomoteur qui est réalisé avant de commencer le traitement, qu’il soit chiffré ou pas.
Nous y travaillons le plus possible avec des consignes que nous donnons aux enfants afin de de pallier aux difficultés psychomotrices auxquelles ils peuvent être confrontés. Les consignes, pour les plus petits sont difficiles à intégrer, du coup et même si nous ne les verbalisons pas, nous guidons les enfants vers les exercices que nous aimerions qu’ils fassent.

En fonction de l’âge de l’enfant, il faut savoir que tout en gardant nos objectifs bien en tête, nous laissons parfois l’enfant nous guider un peu dans la séance pour que ce soit un plaisir partagé tout en réalisant les exercices qui sont importants pour lui.

Le travail est très variable en fonction de l’âge et du trouble psychomoteur de l’enfant. Nous pouvons nous trouver devant un enfant qui a des difficultés de trouver la fluidité du mouvement juste après l’acquisition de la marche , ou des enfants plus grands qui éprouvent des difficultés à sauter à pieds joints ou à un pied, à monter et descendre un espalier, à lancer un ballon…

Nous pouvons aussi travailler la motricité fine (des mains) et les aider à accéder aux fonctions motrices utiles ensuite pour l’acquisition de l’écriture.

« Un développement psychomoteur harmonieux permet d’ouvrir l’esprit aux autres apprentissages ».

Au niveau de la psychomotricité relationnelle, il s’agit plus d’aider les enfants qui ont des difficultés à s’adapter à notre société pour quelque raison que ce soit.
Des enfants qui ont un peu trop d’énergie ou beaucoup trop peu, des enfants que les parents qualifient de très difficiles, des enfants mordeurs, des enfants dit hyperactifs, des enfants qui présentent des troubles du spectre autistique ou pour les plus petits, des enfants qui ont des difficultés à s’exprimer et à accéder langage.

Pour la psychomotricité relationnelle, nous travaillons plus dans le cadre de la motricité spontanée pour que l’enfant vive son corps dans l’espace, vive ses émotions dans le plaisir moteur et qu’il se dise (qu’il s’exprime) par son corps. C’est donc aussi donc moyen de dire ses émotions, ses angoisses et qu’elles puissent être reconnue par la psychomotricienne et travaillées avec elle.

 

L’enfant dans sa séance est donc souvent amené à un moment de destruction pulsionnelle (les mousses) un moment de plaisir sensorimoteur (sauter, courir, chuter) que l’enfant va ensuite transformer en jeu symbolique (faire semblant de) qu’il vivra avec son corps tout entier.

Le jeu symbolique va permettre à l’enfant de mettre des mots sur ses actions et ses émotions et qu’elles soient un peu plus vivables pour lui-même et acceptables par son entourage.

Pour conclure, je vous dirais que de nombreuses fois, je me suis cassé la tête sur la question de savoir comment expliquer aux parents pourquoi on laissait un enfant difficile et qui a beaucoup de difficultés avec les limites travailler en motricité spontanée.
Après quelques années d’expérience, je peux vous le dire, la psychomotricité, c’est pour que l’enfant fasse son propre chemin et qu’il trouve lui-même la voie qui l’apaise avec l’aide de la psychomotricienne… quelle que soit la raison pour laquelle il est venu vers nous.
Au plaisir de vous voir dans nos locaux!
Gaëlle

Pour les instits: Adapter facilement le quotidien des élèves dyslexiques en classe

Il y a depuis quelques semaines, et comme à chaque début d’année scolaire, une énorme demande de logopédie. Il y a également, et je suis tellement heureuse de le constaster, des instituteurs et institutrices terriblement investi.e.s . qui me contactent directement ou demandent aux parents une liste des aides qu’ils peuvent mettre en place dans la classe.

 


D’abord, un petit rappel hyper-condensé-à-la-grosse-louche. La dyslexie est similaire à un court-circuit dans l’identification automatisée des mots écrits.

Elle est souvent accompagnée:
– de difficultés dans l’espace,
– de difficultés visuo-attentionnelles
-de  problèmes d’organisation.

Y’en a un peu plus, je vous l’mets quand même ?

Des difficultés dans l’écriture et dans l’orthographe font aussi souvent partie du « pack ».

Ce couac dans l’identification automatisée force les personnes dyslexiques à passer par la voie d’assemblage (b + a = ba) , ce qui est évidemment normal en début de 1ère primaire, mais qui devient handicapant lorsqu’il s’agit de lire des sons complexes (o + n = on et pas « one »). Pas évident non plus lorsqu’il s’agit comprendre des phrases et des textes. Toute l’énergie disponible est utilisée pour déchiffrer le texte, au détriment du sens. Alors quand en plus, on ajoute une petite touche de difficultés dans l’attention visuelle, et un soupçon de troubles de l’organisation spatiale, on se retrouve avec des inversions de lettres, de syllabes, des oublis de lettres, des confusions visuelles (n/u, p/q/b/d, m/n), etc.
Généralement, il faut de plus, rester bien assis sur sa chaise, alors qu’on galère et qu’on a juste envie de s’aérer, boire un peu d’eau et reprendre ses esprits… Et en plus, il y aura des devoirs ce soir. Pas facile, la vie d’écolier !

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A partir de 9 ans: Après-midi de jeux de société

EHP Belgique et Up-toi! collaborent avec les Locaux des Chaperons pour vous proposer des après-midi de jeux de société.

EHP-Belgique est une ASBL crée en 2004 à l’initiative de deux mamans d’enfants à haut potentiel. Au départ, elle visait à développer une meilleure intégration familiale, scolaire et sociale des enfants et des adolescents à haut potentiel.  Aujourd’hui, riche de nombreux partages d’expériences et rencontres, l’association s’adresse à l’ensemble des acteurs touchés par la question du haut potentiel : parents, enfants, adolescents et adultes à haut potentiel, mais aussi les professionnels de la santé, de l’enseignement, des ressources humaines, …

Chez Up-toi! Véronique, enseignante, formée à l’accompagnement des enfants et adolescents à hauts potentiels propose de l’accompagnement scolaire pour les enfants, ados et jeunes adultes.

Plusieurs dates sont prévues, la prochaine est le dimanche 15 octobre de 14 à 17h, au 158, Rue du Commerce, 7370 Elouges.

De 2 ans et demi à 5 ans : Ateliers artistiques autour du conte.

Anne-Sophie, notre art-thérapeute, et Sophie, l’une de nos logopèdes mettent en commun leurs compétences et vous proposent des ateliers artistiques autour du conte.
L’idée: Des ateliers parent/enfant (un parent pour un enfant). Partir d’un conte, d’une histoire, d’un bel album et l’investir de façon artistique : mises en scène, marionnettes, créations plastiques, graphiques ou sonores…
Le fil rouge: favoriser une interaction positive et qui sort du quotidien entre le parent et l’enfant, permettre de nouvelles expériences, essayer, lâcher prise, laisser des traces, mettre des mots sur des émotions, mettre des couleurs sur des mots, mettre de la matière dans son émotion.

Ca commence le samedi 28 octobre, de 10 à 11h, et ce sera tous les 15 jours, au 12 rue Robert Tachenion, 7370 Elouges.
Dress-code: de vieux vêtements confortables que vous pouvez salir 😉

Réservation obligatoire au 0472/258570

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Aider son enfant à mémoriser les mots d’une dictée

Au bout de quelques mois en 1ère primaire, certains enfants passent déjà par l’épreuve de la dictée. Et ça va les suivre pendant quelques années…

 

 

 

 

 

 

Le principe: retenir des mots par coeur, de façon globale, mais non sans les analyser. Des compétences mixtes (analytiques et globales) sont donc déjà requises.

Comment aider vos enfants à utiliser leurs compétences fraîchement acquises et encore instables de façon efficace et durable?

En utilisant différentes façons de mémoriser, différentes stratégies.
Certains enfants auront plus de facilités avec leur mémoire auditive, d’autres avec leur mémoire visuelle, d’autres auront besoin de bouger pour retenir les mots…

L’idée est que si chaque enfant a une mémoire de prédilection (visuelle, auditive, kinesthésique, …) TOUTES les stratégies de mémorisations peuvent être utiles pour soutenir, comme des béquilles, la mémoire de prédilection. Et là, 30 ans plus tard, je me souviens que mes parents me disaient  « Par la porte ou par la fenêtre, mais ils vont rentrer, tes mots! »

Voilà donc PetitLoulou qui revient avec 5 mots à connaître.

Pour demain. #zen

Nous aurons tendance à lui dire de recopier chaque mot plusieurs fois et hop emballez c’est pesé. Bah non. Bien essayé mais c’est relativement rare que ça fonctionne aussi bien. Et souvent, c’est oublié le lendemain. Qui n’a jamais dit « Mais enfiiiiiiin tu les savais touuuuuuus hieeeeeer! »

D’autres solutions, plus ludiques:

La mémoire auditive.

– On va chanter les mots, les lettres… « Et dans le mot chaaaaaat il y a une lettre que je n’entends paaaaaas et cette lettre c’est… et cette lettre c’est… c’est le Tééééé » (tralalalaaaa) Ce qui est top, c’est qu’on peut chantonner tout en préparant le souper, en supervisant le bain…
– On va jouer aux énigmes façon « Questions pour un Champion » : « Je suis un mot de 4 lettres avec une lettre muette…. -pas de réponses? on continue – je contiens un A…… – pas de réponse? on continue- ma lettre muette est un T…. » etc. etc. jusqu’à ce que la réponse soit donnée (et puis logiquement, quand on repose l’énigme plus tard, la réponse est censée arriver un peu plus vite). Ca demande un peu de préparation si on a vraiment envie de se la jouer Julien Lepers, avec des fiches etc. La logopède que je suis aurait tendance à bidouiller un buzzer et mettre des points en fonction du nombre d’énigmes qu’il restait à annoncer…  Et si on ne prépare pas de fiche à l’avance, ça demande un peu d’habitude pour improviser les énigmes. Mais ça vient vite.

La mémoire visuelle

– Technique assez scolaire, on va dire à PetitLoulou de regarder ses mots et de souligner dans chaque mot ce qui lui semble compliqué. Pour vous ce sera peut-être la lettre muette, mais pour lui, non. Peut-être que lui, c’est le H (on est toujours dans « chat ») qui lui semble compliqué dans le mot, et peut-être que tout ce mot va s’articuler autour de la lettre H et que s’il retient qu’autour du H, il y a un C et un A et puis une lettre muette, ça fait « chat » et finalement ce n’est pas si compliqué. Donc c’est lui qui choisit ce qu’il trouve difficile dans les mots.
– Autre technique : le jeu MOV. on s’arme d’un dé et d’une étiquette pour chaque mot. L’idée est qu’après avoir observé l’étiquette d’un mot, on lance le dé et pour chaque face du dé, on trouve une question. Par exemple, si on tombe sur le 3, il faut dire combien de lettres compte le mot. Si on tombe sur le 5, il faut dire s’il y avait un A dans le mot…. adaptez vos questions au niveau de PetitLoulou. Des idées de questions: combien de lettres, combien de voyelles, combien de consonnes, y a t’il une lettre muette, y at’il un A, y a t’il un E, y a t’il un I (un O, un U….), épeler à l’endroit, épeler à l’envers (brrrrrr)….
On peut rendre le jeu encore plus ludique en utilisant un plateau avec des cases, et si on répond bien, on peut avancer du nombre de cases indiqué par le dé. Sinon on recommence à mémoriser.
Avec des lettres mobiles: remettre les lettres dans l’ordre. On lui donne les bonnes lettres et il doit les remettre dans l’ordre, ou on est un peu vicieux et on lui en donne une en trop (haha). Non, en vrai, on ne lui en donne une en trop que s’il est déjà drillé aux dictées depuis quelques semaines et jamais sans le prévenir qu’il y a un piège.
– Montrer une étiquette-mot pendant une ou deux secondes et, une fois cachée, demander à PetitLoulou quel était le mot. On en profite pour activer la mémoire de travail, ça peut toujours servir.

La mémoire kinesthésique

Les personnes pour qui la stratégie de prédilection est kinesthésique ont besoin de bouger pour retenir. Bricoler, cuisiner, sauter, vivre les apprentissages avec leur corps.
-On va pouvoir proposer à PetitLoulou de sauter autant de fois qu’il y a de lettres,
-de construire les lettres en plasticine (est-ce utile de dire que la plasticine ne fonctionne plus quand ils passent à 15 mots par semaine?),
– de travailler verticalement (un tableau magnétique, des lettres mobiles ou une craie…).
– Toujours avec les lettres mobiles, les mettre dans un sachet en tissu et lui dire de toucher les lettres sans les voir. Une fois qu’il a reconnu une lettre, la sortir du sachet, si c’est la bonne lettre, on la garde sur la table, sinon elle retourne dans le sachet. Quand toutes les lettres ont été découvertes, il n’y a plus qu’à les remettre dans le bon ordre.
– Se positionner à un endroit de la maison et écrire l’un des mot sur une étiquette. Un autre endroit pour un autre mot, etc. « Mais si, souviens-toi c’est celui que tu as écrit quand tu étais sous la table… »

Bonne résolution pour cette année scolaire, on arrête de les empêcher de bouger pendant les devoirs. On cadre (on vend des coussins d’eau qui permettent de gesticuler sur la chaise, on peut aussi mettre un grand bac rempli d’éléments à mettre sous les pieds, les pieds gesticulent et le cerveau apprend…), on trouve des solutions ludiques… Cette année, on les laisse apprendre avec le corps.

Bientôt, nous verrons comment faire quand ça se complique et que la mémoire n’est plus suffisante, quand il y a des phrases à analyser, des règles à retenir…. tout un programme!

Bon amusement, les parents 😉

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Run&Bike 2017

Pour la 4ème année consécutive, l’asbl « Les Petits Chaperons Bougent » vous invite à son Run&Bike mais aussi:

  • au vide-dressing de 8 à 12h30. 2 euros l’emplacement, au profit de l’asbl « Les Petits Chaperons Bougent »
  • à la soirée Tapas à partir de 19h30, pour reprendre des forces! 10 euros pour les adultes, 8 euros pour les enfants, également au profit de l’asbl.

Informations pratiques:

  • Départs différés depuis la place d’Elouges entre 14h et 14h30.
  • Trois parcours; 4,5 km, 9 km et 19 km
  • Pré-inscriptions et informations supplémentaires sur le site de promorunbike.be

Des lettres dans le dos pour aider les débuts de la lecture

Si certains enfants sont déjà curieux des lettres et de leurs sons dés la 3ème maternelle, la grande majorité fera ses premiers pas dans la lecture en 1ère primaire.

Généralement, ça commence par les voyelles, des lignes de a, des lignes de i, entourer les a, entourer les dessins où on entend a, puis i, etc. etc.

C’est si facile de s’emmêler les pinceaux dans ces nouveaux apprentissages. Passer d’un signe à un son, associer ces signes et ces sons… Sans oublier qu’en même temps, on apprend à connaître ses copains, on apprend à vivre en groupe, on apprend à tenir assis dans une classe, on apprend les calculs…
Pour se mettre dans la peau d’un enfant de 1ère primaire, imaginez-vous apprendre le chinois, le japonais et le russe en même temps.

Voilà.
Ils ont fait ça pendant une bonne partie de la journée, à l’école. Ils sont fatigués. Et ils ont une ligne de a à faire le plus parfaitement possible, ou lire leurs premières syllabes. Et il est passé 16h. Voire bien plus tard. Et c’est difficile.

Voilà pourquoi on va ludifier tout ça; Petite activité du week-end, quand les devoirs sont loin derrière. Il est important de présenter tout ceci de façon informelle. Ce n’est pas du travail, c’est un jeu.

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Ateliers de pleine conscience pour les enfants et les adolescents

   

La pleine conscience s’invite dans nos locaux dès le 16 septembre!
Laurence proposera des ateliers découvertes de la pleine conscience pour les enfants le samedi 16 septembre.
Bientôt de plus amples informations…

La pleine conscience est la capacité naturelle d’être consciemment attentif et réellement présent.

Tout comme les adultes, les enfants sont souvent surmenés. Ils perdent le sommeil, leurs capacités de concentration, ils sont agités… Leur esprit est tourmenté.
Le bouton « démarrage » fonctionne, mais où se trouve le bouton « arrêt » ?

Dans les ateliers, les enfants et les adolescents apprennent à être au calme et attentifs comme une grenouille. Ils s’entraînent notamment à comprendre les « tempêtes et averses » qui agitent leur monde intérieur et s’exercent à contrôler leur « fabrique des ruminations.

En apprenant à être au contact de leur corps, ils parviennent petit à petit à retrouver le calme.

Des résultats?

Retrouver le calme dans le corps et dans l’esprit permet d’améliorer la concentration et les performances scolaires. Ils ne se laissent plus submerger par les problèmes, ils trouvent des solutions. Leur confiance en eux s’accroit, leur sentiment d’échec diminue.
Ils apprennent à laisser aller les tensions et à développer des qualités comme la compassion, la tolérance, la patience…

Informations:
Laurence Remacle: 0477/61 32 24 – lr.remacle@gmail.com